17 juin 2010

Doute méthodique

Je rêve de lui, il me reste au moins ça.
Je rêve de son corps fin et frêle,
Fragile comme un enfant qui doute.
De ses mains appliquées et douces,
Qui partent en fumée.
De ses cheveux longs et noirs
Qui se tortillent sur sa nuque.

De ses yeux. De ses yeux. De ses yeux.

Mais ils ne se tournent plus vers moi,
Ses regards...
Et voilà que le rêve se transforme en cauchemar!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire